Blagues à part.

Avertissement : La présente rubrique, « Blagues à part. » ne vise pas à l’éducation des masses. Elle est le fruit de mes songeries de conducteur au long cours. Quand la conversation de Nicole s’est tue et que la qualité des paysages ne requiert pas toute mon attention, mon esprit vagabonde : montent alors à la surface, jeux de mots, calembours ou contrepèteries, en rapport ou non avec le voyage. Je ne recule devant rien, je suis prêt à rire de tout, avec presque n’importe qui. Qui sait si, au milieu des blagues stupides, des approximations oiseuses, des pensées éculées, ne se formera pas une perle limpide justifiant, à elle seule l’assommante lecture ?
Entre ici, comme dans un moulin, Jean ( Francois, Paul et les autres aussi d’ailleurs.) et fait ton miel de mes bêtises. Un sourire sur tes lèvres sera ma récompense.


Accent circonflexe.

L'accent circonflexe français remplace un ancien S disparu, et complique inutilement l'apprentissage de l'orthographe à l'élève de CM2. Revenons à l'ancien français et l'âne redevient l'asne.
A ce propos, l'asne arménien et aussi testu (têtu) que les autres: mesme (même) sous la torture, l'asne n'avoue rian, rian de rian, non pas qu'il soit si courageux mais parce qu'il a une cervelle de piaf et ne se souvient de rian.


Arménie.

Pourquoi les relations entre l'Arménie et la Turquie ne se réchauffent elles pas ? Erdogan et la majorité des turcs refusent de reconnaître le génocide arménien, et même l'armée nie.


Copines.

Les iraniens ne sont ni plus ni moins fidèles à leurs épouses que les français où les espagnols, mais ils tiennent à la discrétion la plus totale sur l'existence de leurs maîtresses: des copines occultes en quelque sorte.
    Contrepet.

Un mien lecteur, pas plus bête ni moins attentif qu'un autre, me faisait part de ses interrogations dubitatives quant à l'allusion faite, dans l'article "Caravansérail de Karghusi", à ceux qui viendraient à pied de Chine, contrairement à Romain et Benoît qui s'y rendent en vélo. Je pensais que chacun aurait reconnu là, la proposition de départ de la plus connue, sinon la plus fine, des contrepèteries: "Ils arrivent à pied par la Chine".

Le capibara.

"Et le capibara," me dites vous, "en vites vous?"
Ben, non, pas de capibara en Iran, ou alors, on l'a raté, ce qui en fait un capibaraté. Le capibara, mine de rien, on y pense encore.

Les Grecs et les Perses.

Les Grecs avaient l'Iliade et l'Odyssée. Les Perses, moins chanceux, n'ont que l'une des deux, la persillade.



Les iraniennes.

Les iraniens apprécient beaucoup l'opéra et les iraniennes s'enthousiasment pour La Bayadère. C'est vrai que dans leurs abayas, elles ne peuvent faire que des Petipa.

Les iraniennes nous semblent un peu coincées sur le plan des mœurs: pourtant, d'avoir, petites filles, beaucoup joué à Shah perçé, elles arrivent rarement vierges au mariage.

Comme toutes les femmes au monde, les iraniennes sont indisposées chaque mois: elles sont les seules, toutefois, à avoir l'iraniagna.



Khomeini et Khamenei.


Khomeini et Khamenei sont dans un bateau; Khomeini tombe à l'eau. Et Khamenei, me direz vous: inarien.

Revenons en aux mollahs.


Nous avons rencontré deux mollahs, parmi beaucoup d'autres, mollah père et son fils, mollah's son. Pas tant que ça, d'ailleurs, au vu de la ribambelle de mollahrdons qui le suivaient.

Mal élevés souvent, ces mollahs, ils crachent sur les trottoirs. J'ai failli me ramasser après avoir glissé sur un gros mollahr.

Perse et police.


Il est de notoriété publique que la police iranienne, la savak autrefois, les bassidjis aujourd'hui, surveille et écoute la population, en particulier les kurdes, les azéris, les minorités.
Ont ils raison de se sentir persecoutés?

Et à propos de Bassidjis, les gardiens de la révolution, savez vous que ce ne sont en fait que de tristes mollahscars. Qui roulent d'ailleurs, en mollah's car: étonnant, non?

Politique.

La Turquie est gouvernée d'une main de fer, par un ergogan de velours.

  
Gastronomie.

Dans le premier restaurant turc "locanta" où nous avons déjeuné, étaient proposées des "kofte". Devant mon ignorance, le serveur, qui parlait un français parfait: " Des istanboulettes en quelque sorte, Monsieur."

D'Istanbul.
Il ne fait pas chaud, à Istanbul, en ce début avril. Nous avons pourtant, dans notre Euskal-Go, 
dormi stambouillote.

Pour faire plaisir au touriste international, les turcs, au lieu d'employer le mot "lokoum" utilise l'expression "turkish delights". Pour attirer le touriste français, je leur suggère de parler plutôt "d'istamboule de gomme".

A propos de loukoum, Nicole m'a mis en garde: " Si tu continues comme ça, on va t'appeler Istanbouboule."

J'ai failli m'équiper d'un drone, mais j'ai renoncé. C'est bête, j'aurais pu vous faire découvrir Istanbul au drone.




Courrier des lecteurs.

Un des lecteurs assidus de cette rubrique réagissait dans un commentaire que vous n’avez peut-être pas lu, à la parfaite contrepèterie « tirez la tinette », en me demandant, à juste titre, comment la nuit je pouvais « mirer la tinette ». Bonne question.

Un autre, non moins assidu, se réjouissant du changement de mon injecteur défaillant, s’écriait : « Alea injector est ! » Bravo.

Chez les Incas.

Nicole, quand je négocie trop rapidement un vilain virage, me dit habituellement : «  Claude, tu es fou ! » Depuis que nous sommes en pays Inca, je ne sais pourquoi, et dans la même situation, elle s’écrie : « Athané, t’es pec ! » Pourtant, l’a pas lu Tintin.

Pour plaire aux plus petits.

Vous savez ce que j’ai trouvé ce matin, dans l’incabinet ?....  incaca !
Vous ne voulez pas la photo ?

Sur le trottoir, à Sucre.


Un carton vide, de Fernet Capri ! Pourquoi, c’est fini, le Fernet Branca ?

Les boliviens.

Nous voici en Bolivie. La plupart des boliviens que nous avons rencontrés jusqu’ici correspondent bien à l’image que l’on a d’eux : pas très grands, plutôt ronds, le teint bien basané et le poil noir. Quelques-uns,  blonds, grands, portant chapeau de paille et salopette noire pour les messieurs, chapeau aussi et bas épais pour les dames et les fillettes, roulant charrette, se remarquent immédiatement, les beaux livides mennonites.


Hommage à Frédéric Dard.
A propos de beaux livides, rendons hommage ici, à Frédéric Dard, un maître. Son personnage, San Antonio, voyant un lit vide, le devînt.
Peut-on mieux faire ?


Maxime.
Sur la page d'accueil du blog, j’ai utilisé  un vers du poète Rilke : «  Prends garde, Ô voyageur, la route aussi marche. »  Pour me rappeler la nécessité de ralentir  la cadence du voyage, je songe à le remplacer par cette maxime personnelle, frappée au coin du bon sens : « Si le temps te presse, le temps t’accule. » * Qu’en pensez-vous, amis lecteurs ?

*Rien à voir avec le Pantanal.


Caïman ou Jacaré.

On me dit, et je veux bien le croire, que la Maison Hermès n’utilise pour ses sacs en croco que du caïman brésilien, le coûteux jacaré Hermès. 





C’est pour quand, les photos du toucan ?

C’est tout con de photographier le toucan, croit-on. Tu parles ! Au moindre boucan, le toucan fout le camp. Ah quand le toucan ?


La pierre et la bière.

S’est-on suffisamment interrogé sur la différence fondamentale entre la pierre et la bière ? Probablement pas. Si pierre qui roule n’amasse pas mousse, bière qui roule, en revanche, n’est que mousse. Souvenez-vous-en.


L’urubu.

C’est dégueulasse, les urubus, ça chie partout dans la campagne. A tout le temps bouffer des produits pas frais, ils souffrent de dysenterie permanente, l’urubucolique. J’en ai même vu qui vomissaient, après qu’ils urubu plus que de raison. 




Capybara, le retour.

Jusqu’à ce matin, nous n’avions vu qu’un seul capybara, et j’en avais déduit qu’il s’agissait certainement du capybarare. Mais dans l’après-midi, on en a vu plein, une vingtaine à la fois, soit un capybara vingt. 



La tinette.

Le soir, dans notre Euskal-Go, pour faire pipi la nuit, on tire la tinette. « Tire la tinette », parfaite contrepèterie, me disais-je en mon for intérieur. ( Tire la tinette )

Je te tiens, tu me tiens ...

En fait, ces deux perroquets jouent à "Je te tiens, tu me tiens par la barbichette. Le premier qui rira arara une tapette! " C'est le bleu qui la prend.


L'autruche-hongrée.

Oui, ça y est, j'ai l'autruche, vous avez vu la photo. Reste à trouver un hongre reproducteur. C'est pas simple.


Pantanal.

L'un de mes plus fidèles lecteurs a voulu m'entraîner sur la piste savonneuse d'une mauvaise blague sur le Pantanal. Je ne la ferai pas, tant pis pour lui. Par précaution, je garde mon pantalon.


Cuiaba.

Nous serons ce soir à Cuiaba. Les plus gourmands d'entre vous avaient remarqué que nous passerions à Cuiaba, et comme je les connais, ils s'en faisaient déjà des gorges chaudes et m'attendaient au tournant.
Et bien non, je sais que cette rubrique n'atteint pas au sommet du bon goût, mais là, je ne me laisserai pas entraîner. Déçus ? Je m'en bats les flancs !


Le tapir.

C'est fou, ça ! Nicole me parle comme on parle dans les banlieues, américaines de surcroît !
Je somnole gentiment en roulant, pilote automatique enclenché quand Nicole me réveille d'une bourrade dans les côtes, sous prétexte qu'elle a vu un tapir: "un tapir, oh, man !"  Qu'est ce qui lui prend ?




Les paraguayens.

Les paraguayens, tels que nous les découvrons, sont très aimables et enjoués. Paraguaylurons et paraguayluronnes pourrait-on dire.

Cela n'exclut pas une certaine violence dans le pays. A preuve, sous nos yeux, un individu dissimulé sous un porche, se jette sur le premier venu et le rosse avec enthousiasme: on nous dit que c'est là le sinistre paraguay-tapant. Inquiétant tout de même. ( Je me dis au passage, que j'aurais dû, pour cette dernière blague, ouvrir une sous-rubrique "blagues à tabac"!)

Que de fleurs partout, et Nicole de s'écrier: "au (para)guay, vive la rose !

Les uruguayens.

Si vous rencontrez un uruguayen très macho, vous avez certainement à faire à un urupette. Sa consoeur très féminine, elle, est une uruguaypière. La différence principale, réside bien sûr dans une belle paire d’urustons.
Je sais, je sais, mais il faut bien se relancer !


Croisement. 

Je vous parlais du mouton à quatre cornes, issu d’un croisement improbable. Ce n’est pas tout !

A peine étions nous sur les routes urugayennes que nous rencontrions nos premiers émeus, ou choiques, je ne sais comment on les appelle en Uruguay, des autruches quoi. Et des chevaux, des ânes, des mules, des hongres. Imaginez qu’on arrive à croiser une autruche et un hongre : sûr, le petit, ce serait l’autruche hongrée.


Nous n’en finirons jamais avec le guanaco.

Pour changer, j’ai voulu faire du noir et blanc. Histoire de faire un peu artistique, quoi.



 Le sépia, j’essaierai pour les calamars, mais j’en ai pas encore photographié.
Tout compte fait, au vu du résultat, je reviens au guanacolor. 




La critique est facile.

L’un d’entre vous, au sujet du cul de sac, m’a dit : «  Ca n’a ni queue ni tête ton histoire ! » Moi, tout de suite, j’ai pensé au cul de jatte, pauvre garçon. Pour peu qu’il soit aussi manchot… Son seul plaisir, c’est d’entendre sa femme chanter «  Que reste-t-il de mes amours ? » Parait qu’elle a une jolie voix.

Reconnaître à coup sûr un cul de sac.

Comme vous l'avez lu sur le blog, nous nous fourvoyons souvent, plus ou moins volontairement, dans des culs de sacs. Je vous indique ici, gracieusement, une méthode infaillible pour déceler l'existence d'un cul de sac avant de s'y engager.
Procurez vous un fort sac de jute, dans le genre sac de farine et un solide cordon. Hélez un cul de jatte dans la circulation, comme vous héleriez un taxi. Demandez lui gentiment de bien vouloir s'introduire dans le sac. La chose faite, fermez le sac à l'aide du cordon, puis secouez vigoureusement l'ensemble. Si au bout de quelques minutes le cul de jatte ne s'est pas extrait du sac par le fond, et demande à sortir par le haut, vous êtes bien en présence d'un cul de sac. Libérez le cul de jatte, déposez le dans sa caisse à savon et relancez le dans la circulation d'un coup de pied amical.

Blagues à tabac.

Mes blagues ont un succès fou. Mais si elles font un tel tabac, ne doit on pas craindre qu'elles puissent ainsi provoquer le cancer ? Méfiez vous donc, n'abusez pas.


Revenons sur l’émeu.

Dont nous avons dit ici qu’il n’était pas émeu mais nandu. J’apprends aujourd’hui qu’il n’est pas nandu non plus mais choique ! Et de m’expliquer que le choique est bien plus grand que le nandu. Presque une autruche. Mais le plumage de l’autruche est noir, quand le plumage du choique est gris. Le choique ou l’autruche en gris ?


Sur les manchots.

Chez les manchots, le mâle se distingue de sa compagne par son gros manche, et non pas, comme je l’ai entendu par sa grosse manchopine. Comment d’ailleurs faire la différence entre un manchot et un cul de jatte. C’est facile : installez l'un dans une caisse à savon munie de quatre roulettes et confiez lui deux fers à repasser : s'il se propulse sur les fers à repasser et se déplace à toute allure droit devant lui, c'est le cul de jatte.Renouvelez l’expérience avec l'autre : confiez-lui deux fers à repasser: s'il se met à tourner sur lui-même à toute allure et vous balance un fer à repasser dans la figure, c'est le manchot. Etonnant, non ?


Bêtes toujours.

En Patagonie, il y a deux sortes de lièvre : le lièvre de Patagonie proprement dit, le mara, (des bois dites-vous ?) difficile à photographier et qui ressemble assez à un chien, avec une rayure claire qui lui barre le croupion, et de petites oreilles ; on rencontre aussi très fréquemment le lièvre européen, avec ses grandes oreilles, qui fait souvent les frais de la circulation automobile, c’est le malheureux lièvre de plate agonie.
Quant aux guanacos, de plus en plus nombreux au bord des routes, nous pensons qu’ils se rendent à une réunion de guanacos-propriétaires.
Contrairement à l’imagerie populaire, le lama ne crache pas. Le guanaco si, quand il n’est pas content, c’est le guanaco léreux.


Réglons tout de suite son compte au guanaco.

D’abord, ne pas le confondre avec le lama, que ce soit le lama raie basse, qui vit au pied des Andes, ou le lama raie haute qui vit en haut. Pas plus qu’avec l’émeu tif, reconnaissable à son petit toupet sur la tête, mais qui de toute façon n’a rien à faire ici.
Le guanaco mâle se reconnait à sa grosse guanaco pine très appréciée de madame quand elle l’invite le soir venu : «  Guanaco, pule ? » Le guanaco femelle n’est reconnu que par son guanacologue.
Les guanacos vivent en petite colonie, sauf un mâle détesté de tous et qu’on nomme étrangement guanaco l’honni. D’autres mâles s’isolent volontairement du groupe, les guanachorêtes.
Les visiteurs du parc se doivent de ne pas nourrir les guanacos au risque  d'une guanocolique.

Maintenant que vous savez tout sur le guanaco, revenons un instant sur le capybara pour découvrir le très rare siamois : ( un grand blanc sous la photo avant la suite.)


 à droite, capybaratribord, à gauche, capybarababord.
Mais le plus célèbre de tous, c’est sans conteste, capo de tous les capi, le capybarackobama, amicalement surnommé parfois capybarackafrique.






Pour en finir définitivement avec l’émeu. 

Aparté : Quand je parle de l’émeu, note Victor que je ne parle pas des vaches. Demande à Pépé (dagogue, professeur certifié ) : à deux ans, il y a des choses que tu ne dois plus ignorer.

On me dit que les émeus n’en sont pas. Qu’est-ce à dire ? Et ce seraient ici des « nandus » ? Vérifions-le sans attendre.
Tiens, au bord de la route, deux émeus, quoique … Pas des autruches, ou alors des petites, des émeus menus en quelque sorte, tu peux pas les mettre sur la carte, ni même au menu, y’a rien à manger ! Je m’approche. Le plus proche réagit (*)  et file (**) en clopinant (***) vers son compagnon, ou sa compagne, statique. (****) Je m’adresse au premier : «  Nandu, t’es pas ? «  et lui, spontané : « Claro que si, nandu soy, senhor » et se tournant vers l’autre : » Is’n’it,  hermana nandu mia ? » Ce que je traduis librement pour ceux qui ignorent la langue de Cervantes : » N’en doutez pas, Monsieur, n’est-ce-pas, nandu sœur ? «  Et l’autre : » Yes, Sir. » J’y comprends plus rien, sont polyglottes, ou alors sont goudous, pas nandus !
(*) émeu réagit (**) émeu file (***) émeu clopine (****) émeu statique mais je vous l’avais déjà fait.



6 commentaires:

  1. J è meu meu l'australie dit l'emeu au nandou d'Amérique. Ce à quoi répond le Victor bordelais... "Pas meuh meuh, beh beh en australie..."
    GL

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  2. Attention, soyez prudents, vous pourriez avoir des problè meus de guanocoques en approchant l'okapibara teint, ne vous laissez pas influencer par leurs sourires ennandus ! Vive 2014
    JPL

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  3. Au bistrot " Au bout du trou du kul du monde " :.. Le cul de jatte =......"un demi..patron ! "..; .Le manchot =....." fais boire..patron ! "
    Toit ! toit ! mon toit ! disait l'émeu..nuisier , scié en deux soul sa couverture.
    Bon vent frais , vent du matin ....sur le Toit de Belharra ça décoiffe grave et le Mazda-Techo pourrait s'y essayer !
    peio del cabo horno y molino

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  4. Je viens de découvrir cette rubrique. Oui, il était temps! Je suis très fan du capybaratribord et du capybarababord! Le lièvre de plate agonie est fort drôle aussi mais je ne vais pas te faire la liste. J'imagine que maman ne doit plus supporter toutes ces blagues que tu dois préalablement tester sur elle; ou alors elle remercie chaque jours vos accompagnateurs de rire à sa place.
    La faune argentine a un vrai potentiel comique, si on ne la cuit pas bien sur, qui l'eut cru?
    J'attendais un petit quelque chose du côté du Lupin... (Arsène Lupin?) Non?
    En tout cas je viens de passer une heure à parcourir votre blog et je suis sure que je n'ai toujours pas tout vu, mais au moins je suis à jour pour commencer ma formation (après demain) la tête plein de bons jeux de mots.
    A très très vite donc. Dans un mois vous êtes là, ouf, j'en avais mare de faire la vaisselle tous les jours! ;)

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  5. Comme disait mon vieux pote , Osi , à la mine patibulaire , de rien désargentée , sur le tard gland culbuteur-injectorus devant l'éthernel : "" ..malgré mon beau piston ..il faut être bien taré pour faire le plein de fuel frelaté et sucré à Kouy-Unies , capitale du championnat du monde de Gaga-li-Pet , en batteries-piles-poils , sur lit " Thium-Thium " modelo " Bed à Boum Boum".
    ! Bon viaje !......Fetes cependant très attention au Lit-Cancabur..il pointe fort selon mon autre companero El Dali-Lama le pote à Sutra !!
    lou peio

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  6. J'avoue, ma blague préférée (ou p resque) c'est celle de l'Incaca dans l'incabinet ! :) :) :)
    Mais j'avais pris du retard sur blagues à part et j'ai parfois eu l'impression de lire un cahierr de voyage de Rousseau... mais pas tout lme temps!
    Des bisous
    alice!

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