Nous avons quitté Rio de Janeiro hier matin, par la splendide route de la côte qui longe l'océan et les étonnants reliefs couverts de l'exubérante végétation de la "mata atlantica". L'océan est d'un bleu profond,et dessine des anses parsemées d'îles. Les paysages sont époustouflants. La route reste au plus près de la côte et tortille jusqu'à Paraty sur 250 kilomètres. Paraty est une ville coloniale, aboutissement de l'ancienne Estrada Real et demeurée telle qu'au XVIII° siècle.
Après le réveil au canon avant hier à Rio, nous avons eu droit hier soir pour notre coucher à un prédicateur tonitruant sous un barnum, galvanisant une petite foule d'adeptes de l'Assembleia de Deus. Croyez moi, de Père Félix Araujo a du coffre, et tient la distance. On ne dira pas la même chose du frêle chanteur qui assurait la première partie sous le fameux nom de scène, Victor Hugo!
Nous repartons en début d'après midi vers Sao Paulo, que nous éviterons le long de l'Atlantique - trente millions d'habitants, merci - avant de prendre, au niveau de Curutiba, la route des chutes d'Iguaçu où se terminera, dans quelques jours, notre périple Brésilien.
Après le réveil au canon avant hier à Rio, nous avons eu droit hier soir pour notre coucher à un prédicateur tonitruant sous un barnum, galvanisant une petite foule d'adeptes de l'Assembleia de Deus. Croyez moi, de Père Félix Araujo a du coffre, et tient la distance. On ne dira pas la même chose du frêle chanteur qui assurait la première partie sous le fameux nom de scène, Victor Hugo!
Nous repartons en début d'après midi vers Sao Paulo, que nous éviterons le long de l'Atlantique - trente millions d'habitants, merci - avant de prendre, au niveau de Curutiba, la route des chutes d'Iguaçu où se terminera, dans quelques jours, notre périple Brésilien.
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