De Sao Luis le 5 octobre.

Après deux jours à Belèm, nous avons pris la direction de Sao Luis que nous avons rejoint en deux autres journées.

                                            L'église de nostra senhora de Nazaré.

Les indiens Guadajara qui bloquaient la route nous ont offert une sympathique pose ethnologique et obligé à chercher un contournement.

 Nous avons pu ainsi traverser des exploitations agricoles, principalement des plantations de palmiers à huile gagnées sur la forêt, et des villages isolés.

 Sao Luis, créée par les français au XVII° siècle, puis devenue portugaise est un peu décevante, au vu de l’état désastreux de ses vieilles demeures.

 Nous y bivouaquerons encore ce soir, au bord de la plage – baignade à 30°C – et prendrons demain la route des « lençois marahenses », drapé de dunes blanches enserrant de véritables oasis de verdure et d’eau limpide. Un must, parait-il.

Le petit port de Raposa.

Pour ceux qui veulent en savoir plus, une première partie du carnet de route Brésil 1 est à votre disposition. Clic dansle sommaire. Les photos dès que possible.