jeudi 30 novembre 2017

Derniers tours de roue en Géorgie.

Nous abandonnons notre idée de gagner Batoumi et la Mer Noire au profit d'un long retour par les montagnes turques. Un crochet impromptu nous permet d'admirer le monastère de Kastskhi haut perché sur son piton. Seuls les moines sont autorisés à y accéder par une échelle vertigineuse.







Nous remontons maintenant la gorge de Bordjomi vers la ville thermale éponyme. Bâtie par les russes au XIX°, la petite ville s'est développée autour des sources d'eaux minérales. Elle n'est plus que l'ombre de ce qu'elle a été mais conserve de superbes constructions d'époques et un parc thermal qui continue d'attirer curistes géorgiens et touristes russes.







Bordjomi sera notre dernier bivouac géorgien. La frontière turque n'est plus qu'à une soixantaine de kilomètres. Nous la passerons demain en fin de matinée.
Petite anecdote: a quelques kilomètres de la frontière, à la sortie d'Akhaltsikhe, nous croisons une toupie de béton toujours à l'enseigne d'une entreprise basque qui opère à quelques centaines de mètres de notre maison de Biarritz! Pas plus tard qu'hier, nous avions vu, garée en bord de route une remorque rouge des transports Gèze à Bayonne. La Géorgie, un grand marché de l'occasion?

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