jeudi 5 décembre 2013

D'autres photos de Rio.

Nous avons beaucoup marché dans Rio, avec et sans parapluie. Le mauvais temps, en définitive, nous a permis de découvrir plus longuement la ville. En voici quelques images.


Dans le quartier Santa Tereza, un artiste s'est installé dans un wagon factice du célèbre petit tramway, " o bonde".



De superbes maisons XIX° surplombent le quartier noyé dans la verdure ou alternent rues bobos et petits morceaux de favelas.


C'est dimanche: le quartier ne s'anime que passé midi.



Au coeur de Santa Tereza.



Les cariocas de Santa Tereza pleurent le bonde qui ne fonctionne plus depuis un grave accident il y a deux ans. Les travaux de réfection avancent lentement.



Au centre de Rio, la cathédrale rappelle les pyramides incas.



Le quartier de Lapa revit.



Le théâtre municipal.



Le soleil presque revenu, nous grimpons au Corcovado par l'impressionnant  train à crémaillère. La baie de Rio, enfin!



Les lunettes de soleil, c'est pour se persuader qu'il fait beau.



Le Pao de Azucar. En bas, à droite des immeubles, sous les arbres de la Praïa Vermelha, notre bivouac pour six nuits à Rio. En zoomant, on distingue notre Euskal-Go.



Le quartir Lagoa derrière la plage d'Ipanema.



Petit vendeur de maïs grillé au coucher du soleil sur la Praïa Vermelha.



La bien laide cathédrale s'admire dans les immeubles ultra-modernes." Miroir, O mon beau miroir ? ... non, t'es vraiment moche, même si tu as de beaux vitraux!"



L'incroyable "Confeteira Colombo" telle qu'à la fin du XIX° siècle, ne désemplit pas au coeur du vieux Rio.



A Ipanema, la "Toca do Vinicius", consacrée à a bossa-nova. Son sympathique  propriétaire nous explique le subtilités du "choro", de la "samba" et de la" bossa-nova" dans un enthousiasme communicatif et un français parfait. La pluie, malheureusement, nous prive du concert hebdomadaire le dimanche à 18 heures.



Un lieu magique: le cabinet royal portugais de lecture. Des dizaines de milliers d'ouvrages anciens sous sa coupole.



Hommage à un célèbre musicien carioca, Pinguininho, ou quelque chose d'approchant.



Au pied d'une colline boisée de Rio, le Largo de Boticario, placette cachée au fond d'une impasse. Les magnifiques maisons anciennes abandonnées sont sqattées.



Après une douzaine de kilomètres à pied dans l'après midi, nous rentrons, fourbus, vers notre bivouac.


Le Christo Redemptor domine la ville scintillante.

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