Nous avons franchi le détroit de Magellan entre Porvenir et Punta Arenas où nous avons passé deux jours. Ville de plus de cent mille habitants, un peu ventée, mais assez agréable. Nous avons ensuite gagné Puerto Natales, base de départ vers le parc national de Torres del Paine.
Sur la route de ripio, la plus vielle estancia de la région.
Les peones sont occupés à marquer les jeunes bovins.
Le petit bateau de l'estancia porte un nom d'origine indienne Telueche.
On marque les jeunes mais les plus vieux nous regardent d'un sale oeil.
Les lupins fleurissent partout en bord de route.
Près du lac de Toro, la route est en travaux et nous devons faire un long, mais magnifique détour pour atteindre le parc.
Le massif des Paine se reflète dans le lac Sarmiento.
Un incendie ancien a réduit la forêt sur des milliers d'hectares à ces squelettes blanchis.
J'ai cru à une orchidée. Il parait que non.
Les fameuses Torres del Paine, 2850m, sortnt des nuages.
Une superbe balade nous permet de nous en approcher.
L'eau est partout présente, d'un bleu estraordinaire.
Deux condors se sont posés près de nous. Mais les photos ne sont pas bonnes, zut!
Une autre promenade nous permet d'entrevoir au loin le glacier Grey.
Un gros glaçon s'en est détaché.
Sur la rive, malgré le vent et le froid, l'été déploie ses fastes.
Un contraste surprenant.
Les guanacos surgissent de tous cotés, en groupes parfois très importants.
Emeus, nandus, choiques ?
Et beaucoup d'oiseaux: ici, un couple d'une sorte d'oie avec ses petits.
Cascade du rio Paine.
Les rapaces sont innombrables, pas très génés de notre présence.
Les trombolites blancs encombrent les rives du lac.
waouhh!!!!!!! c'est beau!
RépondreSupprimerAlice: J'allais dire à Anonyme qu'il aurait pu donner son nom, mais du coup je me rends compte que je viens d'oublier moi aussi sur le message précédant.
RépondreSupprimerC'est vrai que le bœuf te regarde d'un œil inquiétant, mais c'est peut-être que vous aviez les yeux en forme de steak aussi! Ca m’étonnerait pas.